

Le paysage intègre des jardins thématiques inspirés du milieu agricole, favorisant la biodiversité indigène grâce à des arbres fruitiers, plantes comestibles et ruches. Les lieux de rencontre, situés en périphérie, renforcent l’intégration du nouveau quartier à la communauté existante.
Plusieurs stratégies réduisent l’empreinte environnementale du projet, telles que la diversité des usages, l’utilisation de matériaux locaux (maçonnerie de briques), la gestion optimisée des eaux pluviales et la réduction de l’effet d’ilot de chaleur par les aménagements paysagers, la mise en œuvre de toitures blanches et végétalisées (certaines accessibles), ainsi que l’intégration de pistes cyclables et la connexion aux transports collectifs (dont le REM).


Crédits images : NARCIS